Roméo et Juliette: chap 1.

Publié le par Lessaim

Chapitre du balcon


Par une chaude nuit estivale, au lieu de traîner au quartier avec son compère et confident Benzo de Chianti, Roméro se dit qu’il est temps d’aller prendre la température du canon qu’il avait croisé au marché, entre le stand de mortadelle et celui des clous.

En cette même nuit bouillante du mois de d’Agoust, Julinette a chaud, alors elle fait prendre le frais, sous sa nuisette qui l’enrobe jusqu’aux chevilles, et secoue le bonnet de bain qui lui sert de charlotte.

Appuyée à la rambarde de son balconnet bonnet E, la donzelle pense tout haut :

Julinette- La vache, on sue !

Roméro- (Oh, elle parle…)

Julinette- Ô Roméro, mon Roméro, pourquoi es-tu une buse ?

Renie Benzo et ton acné, et si tu peux pas, ben jure-moi que tu me feras grimper au rideau et on ne m’appellera plus Pucelle.

Roméro à part, (mais qu’est-ce qu’elle a à beugler, va réveiller les vieux cte dinde ?)

Julinette- Ta face est mon ennemie. Tu n’as pas inventé la poudre, mais qu’est-ce que la poudre ?

Ce n’est ni tes mains, ni ta bouche, ni ton membre, rien qui ne fasse de toi un homme ! Ô sois viril et prends-moi.


Roméro soufflé oublia de se taire et lâcha d'un trait: Te prendre, mais je ne rêve que de ça!!

Siffle-moi et fais de moi un vrai mec : désormais, j’en peux plus.

Julinette- Mais t’es qui toi ? Quel est ce pervers qui vient écouter aux balcons des gens en pleine nuitée ?

Roméro- (Je… Euh… c'est moi, je chante sous la pluie, tralalalilala…)

Julinette- Mais...Cette voix de casserole, mais c’est lui !

Tu serais pas le type du marché, Roméro et en plus un Montladsus ?


Roméro- Bonne pioche la vierge, tu veux ou tu veux pas ? Si tu veux pas, ben reste.

Joignant le geste à la parole, Roméro sauta sur le treillis qui montait jusqu'au paradis: la chambre de la belle.

Manquant à chaque instant de se casser la gueule, il escalada 4 à 4 les 5 mètres le séparant de ce décolleté à damner un saint.

"C'est ce soir que j'le fais, c'est ce soir que j'le fais", ânonna t-il à chaque barreau franchit.

Enfin le dernier, il sauta par dessus la balustrade et atterrit sur les pieds de la pucelle (pour 5 minutes encore) foi de Roméro.

*APARTE: La pelle que les deux jouvenceaux se roulèrent, servit de base au script du film:
"Tant qu'il y aura des hommes" pour montrer le plus long baiser de l'histoire cinématographique, mais là n'est pas le propos.

Attrapant la nana par je sais plus quoi, il l'entraîna vers le lit....

Publié dans Co Ecrits

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H
as tu penser a introduire céant des préseves hatifs ?
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L
<br /> Ben y a intérêt ma belle parce que a cette époquen houla, la propreté corporelle, heu, c'était pas ça!!..Bises<br /> <br /> <br />