Défi de la rentrée...2eme salve
Le forfait de : Frelon
Bordel de l’Autre !
Ça faisait des semaines que je ne m’étais pas pris 2000 ans de vacances,
Et quand je rentre : je me fait grave dépouiller ma pitance.
M’sieur le commissaire, j’ai rien contre l’extrême onction,
mais je n’étais pas dans l’exergue six de mes fonctions
quand Lilith a voulu généraliser la sexologie
pour rétablir l’égalité des sexes aux logis.
« Ils auront leur libre-arbitre », qu’il a répondu, l’Autre…
Par mes cornes ! il les croyait sûrement tous en mode « apôtres » :
Il ne s’attendait pas, le barbu zélé au regard d’azur,
à ce qu’ils finissent en barbouzes ailés, fassent le mur
et préfèrent à la fin, les langues aux mathématiques appliquées.
Comme il perdait ses clients, les miens il a piqué.
Jetant aux osties sa couronne d’épines
Par une OPA sur mon fonds de commerce il m’assassine.
Pensez donc, c’était trop tentant cette muraille d’échines !
Sans chinoiser, moi je dis qu’à ce niveau, presque il tapine.
C’était prévisible, même sans avoir suivi des cours d’astrologie…
Question avec un gros Q : qui n’a jamais rêvé d’un bel astre au logis ?
M’sieur le commissaire, maintenant que j’ai rechaussé mes sabots,
Et réactivé mes cornes au sulfure, comme Goldorak le beau,
Que mon foyer tressaute à nouveau des aboiements du Cerbère
que je reprends du poil de la Bête des enfers,
va falloir qu’il cesse de poser ses pieds percés dans mon domaine
parce que ses bouffonneries à la mord moi le Dieu, ça me malmène.
M’sieur le commissaire, certes je suis énervé, presque en transe
Mais faut me comprendre : les anges on peut plus leur faire confiance.
A en avoir croisé un, j’ai mon « autre paire » qui me démange le calbut
Les bêtes de la Bête je vous laisse imaginer… que diable, je suis belzébuth !
Avez-vous la moindre idée de mon unique desiderata ?
Simplement redevenir « persona non graTTa ».